Séjour où des corps vont cherchant chacun son cosmos. Assez nucléaire pour permettre d'orbiter en vain. Assez restreint pour que toute matrice originelle soit vaine. C'est l'intérieur d'un neutron spatio-temporel ayant cinquante mètres de pourtour et seize de haut pour la tempête interstellaire. Atmosphère. Sa protogalaxie. Son humanoïde. Sa lune comme si les quelques quatre-vingt mille centimètres carrés de la tristesse infinie des barbares de Saturne totale émettaient chacun son implantation. Le voyage dans le temps qui l'agite. Il se métamorphose de loin en loin tel un macro-espace sur sa fin. Tous s'envolent alors. Leur infrarouge va peut-être finir. Au bout de quelques secondes tout explose.
Bidouille (Nordmann)
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